
PROJECTOR + Pop Crimes
Point Ephemere
∙
Paris
Friday, October 10 at 7:30 pm GMT+2
Rock
Concert Venue
Friday, October 10 at 7:30 pm GMT+2
Rock
Concert Venue
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Details
Description
**PROJECTOR**
Depuis sa formation en 2018, le groupe de Brighton creuse le sillon d’un post-punk frénétique et n’hésite pas à donner la priorité à l’ampleur sonore et à une attitude expérimentale à l’égard de la pop.
Le premier album de PROJECTOR, « NOW WHEN WE TALK IT’S VIOLENCE », fait le pont entre des expérimentations arty, l’agressivité du punk, .
Tantôt versé dans le brutalisme sombre et industriel de Joy Division ou dans une pop libre et brillamment composée, non sans rappeler Interpol ou The Organ, l’album empile des climax qui chancellent, véritable écrin pour les voix entrelacées de Lucy Sheehan et Edward Ensbury.
PROJECTOR revienne avec un nouvel album début Octobre….
**\+ Pop Crimes**
Le quatuor indie rock parisien Pop Crimes voit le jour en 2019, entre Romain (ex En Attendant Ana), Morgane (ex Blondi’s Salvation), Nicolas (Young Like Old Men) et Quentin.
Un premier EP "Debuts" arrive tout de suite, signé chez Howlin’ Banana. Il rappelle l’indie des débuts de Creation Records avec The Loft ou de Sarah Records avec Field Mice. Les concerts s'enchaînent en ouvrant notamment pour The Murder Capital, Mourn, Night Beats, Dignan Porch, The Homesick, Justin Sullivan (Flatworms, Kevin Morby)…
Puis vient le temps de l’introspection, avec le single "Up To The Moon" / "There Were Smiles", sorti en 45 tours chez Safe In The Rain Records et Howlin’ Banana. L’électricité est présente et se diffuse autrement. Ces deux ballades, atmosphériques et brumeuses, apportent l’idée d’un indie rock plus travaillé et plus sombre, qui rappelle Yo La Tengo et Guided By Voices.
En 2023, le groupe sort en mars son troisième EP "Don’t Look Back" qui annonce l'arrivée du premier album: "Gathered Together". C'est suite aux deux ans de studio, d'expérimentation, de découvertes, de moments de grâce, que sortent ces 10 titres riches et variés, nerveux, aimants, profonds et plein d’énergie. Pour l’occasion, le label bordelais Les Disques Du Paradis rejoint les deux autres des débuts.
Le disque, qui évoque la confiance en soi (No More Cryin) et la colère (Nothing Has Changed), les vieilles amitiés (My Friends / Please Come Back In The Game) et les souvenirs passées (All That Time), ou encore la quête d’une forme de sérénité (Do Colors Last), s’auto-alimente et rend ses écoutes plus denses, plus complexes.
Musicalement, on entend Stephen Malkmus et sa bande avec leurs enchevêtrements de guitares noisy et leurs voix pas tout à fait justes; Ray Davies, pour l’énergie des refrains, les changements de ton et l’engagement dans les choeurs; et Nick Cave, avec ses Bad Seeds et ses Boys Next Doors, pour les arrangements de piano et de Rhodes, les larsens et les reverbs caverneuses.
Rowland S. Howard est là et il veille, sa clope au bec, till’ the end of the night.
Présenté par POINT EPHEMERE.
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